Proposée par Leila Varasteh
du 19 au 22 septembre 2024
Menart Fair 2024 Paris
du 19 au 22 septembre 2024
Galerie Joseph Le Palais
5 Rue Saint-Merri, 75004 Paris
Cette exposition présente des œuvres de trois artistes iraniennes dont le travail subtil et fort à la fois intrigue et invite à lire entre les lignes. Une délicate façon de voir le monde.
Nous sommes heureux d’annoncer notre participation à la MENART FAIR 2024. L’édition de cette année est particulièrement significative, car elle est entièrement dédiée à la célébration des contributions exceptionnelles des femmes artistes issues de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), dont le travail a été historiquement sous-représenté dans la scène artistique mondiale.
” En participant à cette édition marquante, Simine Paris s’aligne sur la mission de la foire : offrir une plus grande visibilité et reconnaissance aux femmes artistes de la région MENA” .
Leila Varasteh – Curator
Nous présenterons une sélection d’œuvres de sept artistes d’origine iranienne qui mettent en lumière la diversité, la créativité et le rôle essentiel des femmes dans la scène artistique iranienne :
Behjat SADR
Behjat Sadr Mahallati est née le 29 mai 1924 à Arak (Iran). Elle étudie la peinture à la faculté des beaux-arts de l’université de Téhéran. Les sections architecture, design et arts plastiques se tenant dans les mêmes bâtiments, la jeune femme se confronte à un environnement interdisciplinaire et à des techniques diverses. Elle termine ses études avec mention et félicitations en 1954. Grâce à une bourse du gouvernement italien elle part en 1955 afin de continuer ses études artistiques….
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Elle étudie à l’Académie de Rome dans l’atelier de Roberto Melli puis continue à l’École des beaux-arts de Naples où elle suit l’enseignement d’Antonio Corpora et Armando Gentilini. Elle obtient en 1956 le deuxième prix du concours de San Vito Romano et participe aussi à la Biennale de Venise. L’Iran n’a pas de pavillon à cette époque mais Marco Grigorian parvient à présenter les œuvres de quelques artistes iraniens au pavillon de l’Italie dont une œuvre de Behjat Sadr, une nature morte.
Elle obtient son diplôme de l’École des beaux-arts de Naples en novembre 1958. Dès sa première année en Italie, elle développe un style personnel, une abstraction non géométrique faite de jeux de taches et de traces de couleurs qu’elle présentera dans plusieurs expositions individuelles et collectives. C’est à cette époque que remonte sa décision d’abandonner la peinture de chevalet : « J’entrai dans une transe inconsciente à coup de pots de peinture et de raclette sur ma grande toile disposée au sol, le jour comme la nuit. » Elle obtient en septembre 1959 un poste de professeur à la faculté des beaux-arts de l’université de Téhéran et rentre en Iran. Elle développe avec le temps une peinture plus gestuelle, avec des formes plus rigoureuses, sur grands formats, et participe à de nombreuses expositions internationales. Elle obtient en 1962 le prix impérial de la IIIe Biennale de Téhéran avec Hossein Zenderoudi et réalise une œuvre monumentale, en relief et en céramique, pour la façade de l’hôtel Hilton de Téhéran (90 m2). La même année, elle participe à la XXXIe Biennale de Venise, et l’année suivante à celle de São Paulo. Elle est l’invitée d’honneur de la IVe Biennale de Téhéran en 1964.
Elle obtient le prix de peinture de l’Unesco contre l’illettrisme, avec une œuvre intitulée Lumière de connaissance, dont le soleil rouge et minimaliste se dévoile derrière des stores imposants.
Elle séjourne à Paris dans le cadre d’une année sabbatique pendant laquelle elle travaille avec Gustave Singier à l’École des beaux-arts de Paris pour développer une méthode de pédagogie de l’art. Est témoin des émeutes de Mai 68 à Paris. Puis, elle développe davantage l’aspect expérimental de son œuvre. Dirige le département d’arts plastiques à l’université de Téhéran. Son travail sera présenté dans le quatrième volume de l’ouvrage L’Art abstrait de Michel Seuphor et Michel Ragon (éditions Maeght, Paris, 1974).
Seconde année sabbatique à Paris en 1974-1975. Année fructueuse avec une forte production et un élargissement du champ de ses investigations plastiques. Les œuvres réalisées ultérieurement garderont les traces des expérimentations de cette période. Réalisation de peintures sur aluminium. Behjat vit et observe attentivement l’avènement de la Révolution et les changements dans la société iranienne. La période 1974-1979 correspond sans doute à la période la plus riche et la plus aboutie de sa peinture.
A partir de 1980 elle s’installe à Paris et ne pouvant plus travailler sur des grands formats, elle continue malgré tout sa pratique en réalisant des photomontages et des « photos-peintures » dans de plus petits formats. Elle présente ses œuvres dans plusieurs expositions individuelles et collectives. L’époque des collages révélera également sa pratique de la photographie. En effet, à des fins de composition, elle découpe des fragments de ses propres photographies (vues de promenades en forêt ou sur les bords de la Seine, motifs naturels ou architecturaux) qu’elle combine avec différents éléments, y compris des traces de peinture.
Elle se consacre de plus en plus à l’écriture, aux notes quotidiennes de ses pensées, de ses observations. Elle enregistre tout. Certains de ses cahiers comportent aussi des dessins. Plusieurs dizaines de cahiers écrits et dessinés de ces années ont été conservés. Un ensemble de ses travaux a été présenté à une rétrospective à la Cité des Arts à Paris en 1999. Participe à plusieurs expositions collectives importantes.
En 2004 Le musée d’Art contemporain de Téhéran lui rend un hommage en présentant une très importante exposition rétrospective de ses œuvres dans le cadre de la série des expositions consacrées aux pionniers de l’art moderne en Iran. Un livre monographique documenté retraçant sa carrière sera publié à cette occasion.
Le 10 août 2009, Behjat disparaît à la suite d’un arrêt cardiaque survenu en Corse au cours d’un bain de mer. En été 1991 elle écrivait dans ses Notes (cahier nº36) : « J’aime la mer plus que la terre. Dans la terre on devient enterré. En mer on est immergé, comme on est immergé dans la joie, immergé dans la beauté, immergé dans le bonheur, immergé dans l’ivresse, immergé dans le travail. […] La terre a des montagnes, des collines, des crevasses et c’est la mer qui est sans fin et qui conduit le regard jusqu’à l’infini… ».
Leyly MATINE-DAFTARY
Leyly Matine-Daftary (1937-2007) est une des pionnières de l’art moderne iranien. Elle a étudié les beaux-arts à l’Université de Londres et au Slade School of Fine Art, où elle s’est formée dans un cadre artistique influencé par l’art moderne occidental. Cette formation lui a permis d’adopter une approche avant-gardiste et de développer un style personnel marqué par l’abstraction géométrique et le minimalisme, tout en restant profondément ancrée dans la culture et l’héritage iranien….
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Elle a fait partie de la génération d’artistes iraniens qui ont contribué à la naissance de l’art moderne et l’abstraction en Iran dans les années 1960 et 1970. Ses œuvres ont été exposées dans de nombreuses galeries et musées en Iran et à l’étranger, notamment à la Biennale de Venise et dans diverses expositions internationales. Son tableau intitulé « Portrait de Lydia Sitbon » peinte en 1975 fait partie de la collection permanente du Musée Georges Pompidou.
Son influence sur l’art contemporain iranien est indéniable. En tant que femme artiste dans un milieu dominé par les hommes, elle a contribué à redéfinir le rôle des femmes dans le monde artistique iranien.
FFarideh LASHAI
Farideh Lashai (1944-2013) est une des pionnières de l’art moderne et de l’abstraction en Iran. Née à Rasht, en Iran, elle a étudié la littérature allemande à Francfort avant de s’intéresser à l’art. Elle a également suivi une formation en art et design du verre à Vienne, ce qui a enrichi sa compréhension des matériaux et des formes visuelles….
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Farideh Lashai est surtout connue pour ses peintures, souvent inspirées de la nature et du paysage, mais avec une touche poétique et abstraite. Au fil de sa carrière, elle a intégré des éléments narratifs et technologiques dans son travail, notamment en combinant la peinture traditionnelle avec des projections vidéo. Son œuvre a souvent été perçue comme une réflexion sur l’histoire contemporaine iranienne, abordant les questions de répression, d’identité et de perte. Une de ses séries emblématiques intitulée “Rabbit in Wonderland” (2010) présente un personnage de lapin, souvent interprété comme une métaphore des illusions politiques ou du contrôle social.
L’influence du travail de Farideh Lashai a durablement marqué la scène artistique iranienne et internationale par son approche unique, qui mêle tradition et modernité. Elle est souvent comparée à d’autres artistes abstraits iraniens de premier plan comme Behjat Sadr, mais son utilisation de la technologie lui a permis de se distinguer. Son travail a été largement exposé dans des galeries et musées internationaux, y compris le British Museum à Londres et le Musée George Pompidou et continue d’influencer les générations actuelles d’artistes.
Roya AKHAVAN
D’origine iranienne, éduquée en Europe et aux États-Unis, Roya Akhavan a porté à travers ses œuvres le tumulte et le chaos de l’exil, tout en s’efforçant de construire l’harmonie et la continuité dans un univers où rien ni personne ne reste à sa place. Ses œuvres composent donc aussi le foisonnement d’un discours entre ce qui est lointain dans l’espace et le temps, et ce qui est ici et maintenant. Cette vision universelle d’un monde où l’on ne peut compter que sur soi est aussi l’odyssée d’une femme, forcée d’observer ce qui l’entoure : le chaos et l’harmonie.
À première vue, les œuvres de Roya Akhavan invitent le regard du spectateur à être immergé dans la beauté pure des formes géométriques se répétant à l’infini, qui semblent flotter au-delà des cadres de la toile. En approfondissant, cependant, le spectateur découvre rapidement que les répétitions ostensiblement fluides sont en fait organisées de manière déterminée, voire algorithmiques.
Ainsi aussi, ce sont les compositions d’éléments apparemment incongrus – cavaliers contemporains ou médiévaux au combat, figures androgynes, gazelles ressemblant à des dragons, chasseurs aériens, etc. – qui incitent astucieusement le spectateur à découvrir chaque détail. Les ravissantes couleurs froides aux teintes variées, superposées en plusieurs couches, fluctuent constamment. Les compositions monumentales d’Akhavan tissent symboliquement ensemble la lutte sans fin que l’artiste dépeint.
Malekeh NAYINY
Malekeh Nayiny est une des femmes photographes iraniennes les plus connues et reconnues. Son travail occupe une place importante sur la scène artistique iranienne. Née en 1955 à Téhéran, elle a étudié la photographie aux États-Unis, puis s’est installée à Paris où elle vit et travaille aujourd’hui.
Le travail de Malekeh Nayiny a été régulièrement exposés en Iran, en Europe et aux États-Unis et figure parmi de nombreuses collections prestigieuses. Les modifications de la société iranienne depuis des décennies, les impacts de la révolution de 1979 sur la vie des gens, et notamment les femmes, sont des thèmes qui occupent une place primordiale dans le travail de Malekeh Nayiny. Son travail est un travail de mémoire et de continuité : partant de vieille photographies effacées et anciennes, elle produit une nouvelle image lumineuse et colorée. Elle fait revivre le passé, elle le ramène à la vie, elle le colore, elle le rend joyeux, actuel et éternel. Ses photographies racontent une histoire unique et simultanée : celle d’une petite fille, celle d’une adolescente, celle d’une femme, celle d’une famille et celle d’un pays.
Regarder les photos de Malekeh Nayiny c’est comprendre quelque chose d’essentiel sur l’histoire des décennies passées, de la vie en Iran et de son impact sur la propre vie de l’artiste. Dans la nostalgie de Malekeh Nayiny il y a de la tendresse, de la poésie, de la vie. Une invitation à faire un pas de côté avec elle.
Dans la série « Nudes » présentée dans l’exposition Nature Lumineuse : Regards de trois photographes, l’artiste représente dans des décors, intemporels, une silhouette de femme blanchie et sans figure, presque transparente et fantomatique : une façon de questionner le passage du temps, la perte et l’exil, le passé qui s’efface laissant la place à la seule lumière : une quête ultime vers l’état intemporel et éternel de l’Etre.
Nastaran SAFAEI
Nastaran Safaei décrit la genèse de cette série d’œuvres en bronze et en plexi, représentants des chaussures féminines à talon, écrasées et déformées, de la façon suivante :
” I came home from the party and toed off my shoes. They seemed tired to me, as if they did not wish to be worn anymore. We also become deformed under pressure. But by accepting the collection of internal and external changes, we can still find ourselves brilliant. “
Nastaran Safaei, sculpteur et artiste multimédia, est né en 1984 à Téhéran, en Iran. Elle a étudié le graphisme au lycée et à l’université, tout en expérimentant différentes techniques de calligraphie, de poterie et de sculpture sur argile.
De 2013 à 2018, lors d’une série de résidences d’artistes, elle crée une collection d’empreintes corporelles. Au cours de la dernière décennie, elle s’est aventurée dans l’écriture, tout en produisant des projets d’art vidéo en tant qu’artiste multimédia. Le travail de Safaei est souvent influencé par les aspects physiques, psychologiques et culturels de la féminité. De plus, elle porte une attention particulière à la connaissance de soi, à l’iconographie et à la mythologie, tout en s’inspirant d’objets banals et en les incorporant dans ses productions.
Vishka ASAYESH
Vishka Asayesh est une actrice, interprète, directrice artistique et sculpteure iranienne, diplômée du Wimbledon College of Art avec un Bachelors of Arts en Design et Conception de théâtre technique.
Dans le cadre de son métier d’actrice, ses interprétations de portrait de femmes de premier plan dans ses films et pièces de théâtre lui ont permis de devenir l’une des actrices féminines les plus populaires et reconnues de sa génération (pour en savoir plus – profile IMDB). Dans le travail de Vishka Asayesh la défense des droits et de la liberté des femmes est un élément prédominant et constitue le fil conducteur de ses activités et de son art.
Vishka est une fervente défenseure du sport féminin en Iran. Elle a toujours assidument contribué à la promotion et à la démocratisation du sport comme moyen d’épanouissement personnel et comme vecteur de présence dans la société pour les femmes. C’est une coureure passionnée qui a notamment participé au Cappadocia Trail Run en 2021, sur une distance de 38,5 kilomètres, se classant ainsi la 4e coureuse iranienne dans la catégorie d’âge de 40 à 49 ans. C’est aussi un fervent alpiniste qui a gravi avec succès le mont Damavand, le plus haut sommet d’Iran et le 12e sommet le plus important au monde avec une hauteur de 5 609 mètres, une fois en 2012 et une deuxième fois en 2018.
Les évènements qui ont suivi le mouvement Femme Vie Liberté en Iran ainsi ont contraint Vishka à quitter l’Iran. Aujourd’hui elle vit et travaille à Paris.
Vishka Asayesh est aussi une talentueuse sculptrice qui travaille la matière avec minutie et passion. Son travail a été plusieurs fois exposé en Iran, notamment dans les galeries Etemad et Assar. Une nouvelle série de ses sculptures est aujourd’hui exposée pour la première fois à Paris. Une série de sculptures en bronze où sans surprise les femmes sont à l’honneur.
Hanieh DELECROIX
Vishka Asayesh est une actrice, interprète, directrice artistique et sculpteure iranienne, diplômée du Wimbledon College of Art avec un Bachelors of Arts en Design et Conception de théâtre technique.
Dans le cadre de son métier d’actrice, ses interprétations de portrait de femmes de premier plan dans ses films et pièces de théâtre lui ont permis de devenir l’une des actrices féminines les plus populaires et reconnues de sa génération (pour en savoir plus – profile IMDB). Dans le travail de Vishka Asayesh la défense des droits et de la liberté des femmes est un élément prédominant et constitue le fil conducteur de ses activités et de son art.
Vishka est une fervente défenseure du sport féminin en Iran. Elle a toujours assidument contribué à la promotion et à la démocratisation du sport comme moyen d’épanouissement personnel et comme vecteur de présence dans la société pour les femmes. C’est une coureure passionnée qui a notamment participé au Cappadocia Trail Run en 2021, sur une distance de 38,5 kilomètres, se classant ainsi la 4e coureuse iranienne dans la catégorie d’âge de 40 à 49 ans. C’est aussi un fervent alpiniste qui a gravi avec succès le mont Damavand, le plus haut sommet d’Iran et le 12e sommet le plus important au monde avec une hauteur de 5 609 mètres, une fois en 2012 et une deuxième fois en 2018.
Les évènements qui ont suivi le mouvement Femme Vie Liberté en Iran ainsi ont contraint Vishka à quitter l’Iran. Aujourd’hui elle vit et travaille à Paris.
Vishka Asayesh est aussi une talentueuse sculptrice qui travaille la matière avec minutie et passion. Son travail a été plusieurs fois exposé en Iran, notamment dans les galeries Etemad et Assar. Une nouvelle série de ses sculptures est aujourd’hui exposée pour la première fois à Paris. Une série de sculptures en bronze où sans surprise les femmes sont à l’honneur.
Leila POURKHANI
Leila Pourkhani est une artiste iranienne née à Téhéran en 1976. Diplômée de l’Ecole Technique d’Art de Téhéran, où elle même enseigne aujourd’hui, Leila Pourkhani est spécialisée en Art Islamique : Miniature, Illumination et restauration de manuscrits,et a obtenu de nombreuses distinctions dans ce domaine, notamment en 2008, 2012 et 2013 où elle a été distinguée obtenant le prix du « selective illumination of the Quranic Festival » successivement de Téhéran et de Mashhad.
Son travail a été régulièrement exposé, lors d’expositions solo ou groupées et notamment lors du « Group exhibition of visual arts (In praise of Saadi ) Tehran-Iran Calligraphy Museum » en 2024, « 13th international cultural festival of miniatures and decorative arts- Algeria ـTlemcen » en 2023, participation à la «4th Painting Symposium Kusadasi – Turkey » en 2022, « Group exhibition of painting and sculpture Niavaran Cultural Center, Iran-Tehran » en 2022, « the 3 RD international contemporary art festival Bashkortartstan – Russia » en 2020, « Group online exhibition -exhibition of Iranian Gilding- UNESCO » en 2020, « Iran art exhibition- KCCC exhibition space – Lithuania » en 2013, « Group Exhibition -VACI Exhibitions-Chautauqua- New York » en 2011.
Leila Pourkhani vit et travaille en Iran.
Saiedeh Mirshekar
Saeede Mirshekar est une artiste iranienne née en 1984 en Iran à Bojnourd. Après des études d’art et de design, elle a obtenu une spécialisation en design de tapis à l’Université de Nikbakht en Iran (2004-2008). Son travail, peintures et sculptures, a été exposé dans de nombreuses expositions et musées en Iran, notamment à Vartan Art Gallery Group Exhibition en 2019, Gallery, Negar Art Gallery, Negarestan Museum Garden en 2018 et Golestan Art Gallery en 2017.
Simine Paris est heureuse d’exposer son travail pour la première fois à Paris, dans le cadre de MENART FAIR. Il s’agit d’une série de peintures intitulée « FLOWERS », de couleurs pastel et sobres, des peintures de fleurs qui évoquent un temps passé ou un rêve. De ces tableaux émane une lumière tamisée et ancienne, une sorte de nostalgie douce qui a pourtant la puissance de nous plonger dans un espace intemporel où une musique douce, du jazz peut être, fait bercer le vent.
Accès et Heures d'Ouverture
5 Rue Saint-Merri, 75004 Paris
GALERIE JOSEPH
5 rue Saint Merri, 75004, Paris
Accès en métro :
Line 11 (Station Rambuteau or Hotel de Ville)
Line 1 (Hotel de Ville)
Access by bus:
Bus 38 and 75 (Centre Georges Pompidou stop)
Taxi:
Uber, Bolt, G7
ACCÈS ET HORAIRES D’OUVERTURE AU PUBLIC
Vendredi 20 septembre 2024 : 12h à 20h
Samedi 21 septembre 2024 : 12h à 19h
Dimanche 22 septembre 2024 : 12h à 19h
PRÉ-OUVERTURES QUOTIDIENNES POUR VIP AVEC INVITATIONS :
Vendredi 20 au dimanche 22 septembre 2024 de 11h à 12h
AVANT-PREMIÈRE COLLECTIONNEUR :
Jeudi 19 septembre 2024, de 15h à 18h
OUVERTURE VIP :
Jeudi 19 septembre 2024, de 18h à 22h
PRIX D’ENTRÉE
10 euros
Gratuit pour les moins de 26 ans (sur présentation d’une pièce d’identité)